•we say goodbye in the pouring rain.
Wilson, de la bouche de plusieurs personnes, passe pour être un enfoiré de première. Cependant, il semble montrer deux visages. Dans le cadre de son travail, il a toujours été très juste, attentif, à l'écoute de ceux qui l'entoure ; dans sa vie plus personnelle, il est ce genre d'homme qui pense que tout leur est dû, le type égoïste et égocentrique qui fera reculer bon nombre de personnes. (+) Wilson a toujours été doué dans l'apprentissage des langues ; malgré ses airs de grand connard je m'en foutiste, il fait preuve d'une grande patience, attention et concentration dans son métier. C'est ces aptitudes qui lui ont ouvert les portes des renseignements militaires. Ayant été envoyé plusieurs fois sur le terrain, le jeune homme parle couramment l'arabe ainsi que le mandarin. (+) Il n'est pas un grand adepte des relations amoureuses, ou toute relation dépassant plus de deux mois. Quand il était plus jeune, qu'il débutait sa carrière de militaire, Wilson est tombé éperdument amoureux de la fille d'un général, Haley. Naïf, il en était venu à penser qu'il passerait sûrement le restant de ses jours à ses côtés. Cependant, la vie semblait leur réserver ses habituels coups fourrés ; leur couple vola en éclat en l'espace de quelques mois. Depuis, Wilson évite de s'attacher ; s'il pense être totalement passé au dessus de cette histoire, après tant d'années le mal qu'il a ressenti en voyant la belle s'envoler a laissé ses traces. (+) - Wilson fait parti de ces hommes « faits pour le métier », que l'on n'aurait pas vu ailleurs que dans l'armée. Il descend d'une lignée de militaires et même si cette tradition semble faire pression sur les uns et sur les autres, Wil' n'en a jamais été victime. Plus que par tradition, c'est un véritable choix de la part du jeune homme qui, dès son adolescence se voyait déjà occuper tel ou tel poste. Wil' vouait également une certaine adoration à son père, et n'a donc que très mal accepté le fait que son petit frère puisse les décevoir en ne marchant pas sur leurs pas. Cependant, même s'il ne l'avouera pas, Wilson qui était un frère très protecteur durant l'enfance n'apprécie que moyennement le fait que Logan se soit engagé à son tour ; il restera le petit frère à ses yeux, et sa grande hantise est d'apprendre qu'il ait été blessé, voire pire. (+) malheureusement, Wilson est souvent trop honnête envers les gens et n'hésite pas à donner le fond de sa pensée. C'est même une chose qui l'amuse particulièrement. (+) il n'est pas impossible qu'il quitte une conversation sans prévenir, se lève d'un coup et s'en aille vers d'autres occupations en plein milieu de la phrase de son voisin ; Wilson n'écoute que lui.

• and i break down as you walk away.
Wilson est issu d'une lignée de militaires du côté paternel ; tous les hommes de sa famille ont intégré l'armée. Il était donc naturel qu'il rentre à son tour dans ce corps de défense ; cependant, contrairement à ses prédécesseurs, il ne s'est pas orienté vers la navy mais vers us army. Après avoir étudié à l'académie militaire de Westpoint, il est devenu officier, actuellement major. Wilson a été affecté au service des renseignements militaires ; ainsi, il n'a pas véritablement connu les combats sur le sol irakien et en Afghanistan. Wilson a été envoyé à deux reprises en Irak pour des missions de deux ans chacune, visant au recueil d'informations sur l'ennemi. Vous ne l'entendrez pas critiquer la guerre en Irak ; pour lui il était nécessaire de combattre la menace terroriste suite aux attentats

•but i could never find the words to say.
PRÉNOM/PSEUDO: Anna/bohême ★ AGE: ★ vingt et un ans  GROUPE: A FAREWELL TO ARMS ★ TES IMPRESSIONS: le forum est magnifique    ★ OU AS-TU TROUVE LE FORUM: bazzart. ★ AVATAR:  michael fassbender ★ AUTRE:   

JUST GIVE ME A REASON

Il entra enfin dans la maison, poussant la porte de l'épaule, un léger sourire sur les lèvres. C'est le silence qui l'accueillit, c'est le froid d'un appartement sans la moindre présence, sans les photos accrochées aux murs, les fleurs dans le bocal sur la table présente dans le hall. Il continua d'avancer, et les sourire sembla mourir à chaque nouveau pas. Il le savait déjà, il pouvait le sentir comme l'on sent l'orage arriver. Cette atmosphère tendue, qui vous électrise la peau et vous emballe le cœur ; le corps semble savoir avant l'esprit. L'esprit renie l'évidence, il l'enterre pour mieux la faire surgir quand on se retrouve au pied du mur. Alors, on peut murmurer qu'on le savait déjà, qu'on l'avait vu venir de loin. Wilson continua son chemin, pénétra dans le salon tout aussi vide de présence que les autres pièces. Il resta là, debout près du canapé à regarder sans vraiment regarder ce qui pouvait se présenter sous ses yeux. On frappa à la porte qu'il avait laissée grande ouverte, deux coups secs qui suivirent des bruits de pas sur le sol. Wilson sent une présence derrière lui, un souffle, puis une main qui vient se poser sur son épaule, la serrer quelques secondes, et retomber lourdement sur le côté de son ami. Il n'a pas besoin de se retourner pour savoir que son meilleur ami se tient derrière lui ; de toute façon sa voix si reconnaissable vient aussitôt confirmer l'idée. Je ne pensais pas te voir ici. lâche-t-il, provoquant un simple haussement d'épaules suivit d'un soupir du brun. Elle est partie. la phrase est jetée, ce qui le troublait depuis qu'il était entré dans l'appartement, ce nœud présent dans son ventre et sa gorge trouvent enfin une cause, trouvent enfin une réponse. Elle est partie, dit-il dans un souffle, plus pour lui que pour son ami toujours présent derrière lui. Elle m'a fait promettre de ne pas te prévenir ; je l'ai croisée un peu plus tôt ce matin, quand tu étais avec le sergent Hepton. Wilson bouge enfin, comme si maintenant qu'il sait ce qui se passe, plus rien ne demande sa présence en ces lieux. Il a envie de partir, comme Haley était partie en peu plus tôt. C'était fini depuis longtemps. Je pense simplement qu'on a mis du temps à le comprendre, elle et moi. Leur couple n'était plus ce qu'il était ; il s'effritait petit à petit. Chaque jour venait retirer une pièce du puzzle et ils se retrouvaient face à des ruines que ni l'un ni l'autre n'avait envie de ré empiler, faute de courage. Depuis que son père était mort, depuis qu'il l'avait trompée avec une autre, depuis qu'elle lui avait dit qu'elle en avait ras le bol, et qu'elle avait pris ses affaires pour s'enfuir loin de tout ça.

 Ce sont des cris qui le tirent avec force de son sommeil. Rapidement, Wilson relève les draps, descend de son lit et enfile un t-shirt. Il avance d'un pas rapide à travers la maison, se guidant de mémoire sans avoir à allumer une quelconque lumière pour enfin marquer un arrêt devant la porte de la chambre située au bout du couloir. Il frappe deux coups avant d'ouvrir doucement, évitant de faire trop de bruit pour causer plus de dommages. Nora, c'est moi. Je rentre maintenant. ; sa voix n'est qu'un murmure qui ne trouve aucun échos dans la pièce. Nora n'est même plus présente dans son lit ; elle se trouve dans un des coins de cette chambre, les genoux remontés contre sa poitrine recouverte par sa chemise de nuit et la tête légèrement appuyée sur le mur froid. Le major ne perdit pas de temps pour s'asseoir à côté d'elle, laissant entendre un soupir. Retourne dormir Wilson. Il est fatigué par tout ça ; voir Nora le blesse un peu plus à chaque fois. Il en vient parfois à se demander pourquoi il lui a demandé, pourquoi il l'a suppliée de venir habiter chez lui et si son avis n'avait pas compté, pourquoi il aurait été capable d'aller hurler après son psychologue pour qu'il la laisse occuper cette chambre. Mais il lui suffit d'apercevoir ce visage, ces yeux tournés vers lui et le regarder avec ce mélange complexe d'émotions contraire et il sait pourquoi il était prêt à tout ça. Pour un sourire en coin, pour un éclat de rire, pour un léger coup de poing sur son épaule ; pour l'entendre l'appeler Major Wil' et le voir froncer ses sourcils, quand les autres n'oseraient même pas s'adresser à lui dans des termes aussi familiers. Wilson ne recule pas, reste assis à côté d'elle sans écouter ce qu'elle peut bien lui dire. Il s'en fiche de ça, il s'en balance bien ; tout ce qu'il veut c'est être à côté d'elle. Tu as encore fait un cauchemar ? Cette mauvaise habitude, d'enfoncer des portes ouvertes. Elle lève le menton, et il croise son regard farouche qui ne le fait pas trembler pour autant, glisse une mèche derrière son oreille. Comme un chat, elle se braque aussitôt. Dégage. Laisse moi. Nora écarte la main du brun d'un mouvement sec du poignet, lui jette ce genre de regard dont elle a le secret. Nora... Elle le pousse lui maintenant, de ses deux mains posées sur son torse. Laisse moi tranquille bordel. Il tangue mais ne recule toujours pas, attrapant ses deux poignets entre ses mains. Rapidement, il l'attire vers lui et Nora baisse enfin les armes, pose sa tête sur son torse et attrape un bout de son t shirt entre ses doigts fins. Tout ira bien. Laisse moi t'aider. qu'il murmure à voix basse, le visage enfoui dans ses cheveux.

Cece Carstairs a écrit:

damn Michael est juste à tomber   
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