•we say goodbye in the pouring rain.

- Sybel est pâtissière, car elle a toujours été une jeune femme gourmande. Pour garder la ligne, elle tendait toujours de rentre ces desserts santés. Aujourd'hui, elle en fait son métiers et permet à bien des gens de se gâter sans culpabilisé.
- C'est une femme remplie de joie et de compassion. Avant que son mari reviennent de la guerre, elle occupait son temps libre en faisant du bénévolat et beaucoup de sport. C'était une façon pour elle de rester occuper et de remplir son coeur un peu vide par l'absence.
- Sybel hait la violence. Elle est d'ailleurs contre tout ce que son mari faisait à des milliers de kilomètre des États-Unis. Elle le respecte et respectait alors son choix de partir, mais n'encouragerait jamais cette organisation qui lui semble dépassé.
- Compter tout et compter rien est une manie assez particulière de la belle blonde, lorsqu'elle marche elle compte ses pas, lorsqu'elle mange elle compte ses bouchés, c'est ça façon à elle de combler le vide lorsqu'elle est seule.
- Elle aurait voulu être vétérinaire, mais avec toutes les émotions qu'elle vivait avec la distance et la peur de perdre celui qu'on aime, elle ne réussit pas à terminer une année au collège. La pression était trop forte.
- Hippie dans l'âme, elle qui est douce et réservée à déjà causé beaucoup de brouhaha dans un cours de science au Lycée, car elle refusait de toucher au rat qu'on lui avait apporter à son bureau.
-Vous connaissez tous quelqu'un qui s'excuse pour tout et pour rien, pas vrai? Sybel doit dire « pardon » et « je m'excuse » cent fois par jour, si ce n'est pas plus. Certains disent que c'est une mauvaise habitude, d'autre pensent que ça fait partie de son charme


• and i break down as you walk away.
Sybel n'a jamais été en faveur de la guerre. Son mari, dans l'armée, le savait. Elle l'aimait, alors elle avait respecter son choix de vouloir défendre son pays. Depuis le départ de son marie la guerre, Sybel n'a plus jamais suivit l'actualité. Elle ne sait rien vraiment sur l'Aspect sociologique et culturel de la guerre en Irak. Cette guerre lui a tout pris pour lui redonner un semblant de ce que sa vie aurait du être si son mari n'avait pas combattue pour les États-Unis. Cette guerre prit tout ce qui ressemblait à de l'amour dans leur relation pour jeter Sybel dans quelque chose qui ressemble à la guerre. Sans armes, mais un endroit où tous les jours pourrait peut-être être le dernier de celui qu'elle aime.  

• 'cause all my life, i felt this way.

THREE YEARS AGO Dans une robe blanche, Sybel s'apprêtait à attacher sa vie à celle d'un homme. Pas n'importe quel homme, le premier qu'elle avait aimé. Depuis son dix-septième année de vie, il marchait avec elle. Elle venait de dire oui, quelque personnes, peut-être quinze avait assister à ce moment inoubliable dans leur vie. C'était une petite cérémonie, car c'était une cérémonie précipité. Un mois au paravant, elle avait appris que l'armée faisait partie du futur de celui qu'elle aimait. Il partait dans cinq semaine. Cinq semaines et ensuite elle serait seule. Elle venait de passez trois ans à ses côtés à lui parler de tous et de rien et il allait partir. Ils ne pouvait passez deux jours sans s'embrasser et dans cinq semaines deux jours allait devenir des semaine, des mois et mêmes des années. Alors qu'elle marchait hors de l'église, Sybel pleurait. Ce n'était pas de joie. Mariée ou pas, elle savait depuis le jour où elle l'avait rencontré qu'il était l'homme qu'elle allait marié. Mais maintenant, il allait être son mari à des millions de kilomètre de distance. Que ferait-elle sans lui? Comment allait-elle vivre sans s'inquiéter constamment. Elle ne le savait pas, mais elle allait devoir apprendre. Le temps répare toutes les blessures y parait. Il l'aimait et elle l'aimait. Elle ne pouvait demander plus. Il allait revenir, il lui avait promis. Maintenant, il ne fallait plus qu'attendre.

TODAY. Boom, boom. Boom, boom. Sybel se concentre sur le battement de son coeur pour ne pas pleurer. Son poignet lui fait terriblement mal. Sa main droite commence à engourdir. Son visage est très près du sien et il crit. Il crit fort. Il n'est pas vraiment fâcher c'est ce qu'elle essaie de se faire croire. Elle tremble. Malgré tout les efforts pour les retenir, les tremblements persiste. « ARRÊTE DE TREMBLER JE T'AI DIT!! » Et la première perle d'eau s'écoula sur sa joue pour tomber doucement sur le bras de son mari. Le terme est mal choisit. Son mari est partie à la guerre, mais il n'est jamais revenue. Quelqu'un qui lui ressemble est revenu. Il a ses yeux, mais pas son regard. il a les mêmes mains, mais pas le même touché. Il a la même voix, mais n'utilise plus les mêmes mots. Cet inconnu regardait fiché les larmes que Sybel tentait de retenir. « Vas-t'en! Sybel, pars! » Il venait de lâcher prise. Il ne réalisait pas ce qu'il venait de faire. Comment avait-il pu crier si violemment sur celle qu'il avait épousé? Ce n'était pas la première fois qu'il perdait le contrôle et ce n'était surement pas la dernière. Le poignet de Sybel avait changer de couleur pour un bleu verdâtre qui prenait la forme des doigts de son époux. Un soupir apeuré et soulager essayait de sortir entre les souffles brisés de la jeune blonde. Sa tête bougeait de gauche à droite. Elle ne partirait pas. Elle avait peur, peur depuis son retour. Peur qu'un jour il perdre le contrôle pour trop longtemps, peur que son mari partie à la guerre ne reviennent jamais à ses côtés. Ils étaient dans la cuisine. Sybel s'apprêtait à couper un sandwich en deux lorsqu'il le plaqua contre le mur pour jeter au sol son arme qui n'en était pas vraiment un. Depuis son retour, la vie est une survie. Il était partie à la guerre et l'a ramener avec lui. Maintenant il s'excusait et pleurait plus qu'elle. Toujours entrain de lui répéter qu'elle ne partirait pas, Sybel enlaça l'homme qu'elle avait épousé en cherchant de la vie dans son regard éteint. Elle devait être forte pour elle. Elle devait être forte pour les deux. Elle ne pleurait pu, cherchant à montrer aucun signe de désespoir. « Tout va finir par aller mieux, je suis la mon amour. Je ne partirai jamais » Après un long moment à réconforter son époux, il finit par s'endormir. Sybel tremblait encore. C'est pensées se bousculait si rapidement sans qu'elle ne puisse les retenir. Et s'il ne revenait jamais. Et si ça situation s'aggravait et qu'il me faisait mal. Et si je ne l'aimais pas assez pour rester. Il était de retour depuis plusieurs mois. Le temps devrait commencer à effacer le mal qu'il a vu ou peut-être commis là-bas. Le temps devrait avoir commencer à les aider. Le temps aurait dû effacer la peur qu'elle ressentait jours et nuit. Le temps ne devait pas effacer le peu de courage qu'il lui restait, il devait lui en donner. Le temps aurait dû l'aider au lieu de la détruire. Au lieu de le détruire. Combien de temps encore est-ce que ça allait durer? Sybel ne le savait pas, mais c'est en pleurant silencieusement qu'elle partie pour la première fois dans ses vingt-trois années de vie prier.

•but i could never find the words to say.
PRÉNOM/PSEUDO: justine/dreamcatcher. ★ AGE: ★ dix-beuf ans  GROUPE: TEARS OF THE SUN ★ TES IMPRESSIONS: woooowwww!  ★ OU AS-TU TROUVE LE FORUM: bazzart ★ AVATAR:  claire holt ★ AUTRE: je vous aime déjà

Livy Baldwin a écrit:

bienvenue parmi nous  
j'adore trop claire dans the originals.  
je voudrais bien qu'on se trouve un lien, genre copines de shopping.  
je te l'ai réservé pour quatre jours.  

Madge Harabo a écrit:

Bienvenue parmi nous